Grâce à des patins en caoutchouc sous le clavier, l’Alloy FPS reste bien stable sur le bureau, même s’il se laisse parfois emporter par la danse. Attention cependant à ne pas trop le faire glisser, car ces petits patins pourraient se faire la malle.

L’Alloy FPS se différencie des autres claviers en évitant les fils emmêlés, mais oublie de proposer un système de guidage pour son câble. Heureusement, ce dernier est détachable, idéal pour les gamers nomades qui trimballent leur clavier partout dans sa pochette en tissu fournie, ou pour le remplacer en cas d’accident.

Certes, il ne dispose pas de hub USB ou de prises mini-jack pour casque et micro, mais l’Alloy FPS pense tout de même à votre smartphone en intégrant une prise USB à l’arrière, pour lui redonner un peu d’énergie. On aurait tout de même aimé une véritable prise USB câblée pour brancher notre souris ou une clé USB.

La frappe est aussi rapide qu’un guépard en chasse et le petit clic des interrupteurs est là pour vous rappeler qu’ils sont bel et bien actifs. Certes, ce doux bruit de mécanique peut devenir un cauchemar pour les oreilles sensibles, surtout celles de vos proches, mais ces interrupteurs ont aussi leurs fans inconditionnels ! Heureusement, le châssis ne fait pas écho à cette symphonie de clics : malgré la plaque en acier qui sert de scène à ces petites stars mécaniques, pas de bruit de résonance à l’horizon.

Comme tout bon clavier pour gamers qui se respecte, l’HyperX Alloy FPS est doté d’un anti-ghosting complet et d’un N-key Rollover (NKRO) pour ne laisser aucune touche dans l’ombre et éviter les erreurs d’interprétation. Avec lui, c’est l’assurance de ne jamais rater une note dans la partition de vos exploits vidéoludiques.